Préservation de la fertilité chez les patient.es atteint.es d’un cancer

Dans le cadre de leurs missions générales d’organisation de la lutte contre le cancer en France et de la prévention de l’infertilité due aux effets gonadotoxiques des traitements du cancer employés, l’Institut national du cancer (INCa) et l’Agence de la biomédecine ont décidé de mettre en œuvre une réflexion sur les recherches à développer sur ce thème.
Ce travail s’inscrit pleinement dans la stratégie décennale de lutte contre les cancers lancée par le Président de la République le 4 février 2021. En effet, le soutien à la recherche sur la préservation de la fertilité est clairement affiché dans le deuxième axe de cette stratégie (action II.1.3 : « Limiter les séquelles et améliorer la qualité de vie »). Il prend place dans le plan Procréation, Embryologie et Génétique humaines 2022-2026 de l’Agence de la biomédecine.

L’objectif de ces réflexions est de permettre des progrès en matière de préservation de la fertilité des personnes atteintes de cancer en s’appuyant sur des travaux de recherche intégrant tous les champs, notamment épidémiologie, sciences humaines et sociales, biologie ou clinique. Le souhait est de favoriser l’excellence scientifique et l’émergence de la connaissance au bénéfice des patients.
 

Interventions des membres de PôPS

• Penser la prise en charge des personnes concernées par l’utilisation des gamètes et tissus germinaux conservés : perspectives psychosociales
  Myriam PANNARD, Maîtresse de conférence en psychologie sociale de la santé à l’Université Lumière Lyon 2, PôPS-Inserm U1296
   
• Quels enjeux pour les sciences humaines et sociales face à la gamétogenèse in vitro ?
  Marie PREAU, Professeure en psychologie sociale de la santé à l’Université Lumière Lyon 2, PôPS-Inserm U1296, Lyon

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